Bon allons y pour mon histoire !
Déjà je publie les deux premiers chapitres, car je suis en train de travailler les autres.
Au fait : 10ème édition du manga de Dark' ! ça se fête !
*10ème édition = 10ème collection éditée.
Je n'ai pas toujours été celle que je suis, tout d'abord je vais vous livrer l'histoire que j'ai vécue. Avec ses moments tragiques et bienheureux. Permettez que je livre à vous à travers ces quelques lignesChapitre 1 : Une enfance d'esclavage.J'ai été élevée dans un camps d'esclaves aux alentours des contrées d'IceHell, le royaume de Hel la déesse Scandinave des morts. Jamais je n'ai connu mes parents...
Ce camps était divisé en 3 parties distinctes : la muraille et les locaux des sentinelles au nord, comprenant la réserve de nourriture et l'arsenal.
À l'est, il y avait le camps des esclaves et un puit. Le camps était composé de tente ou de maison construite avec des matériels de récupération.
Au sud, la carrière de Diamanyte avec toutes les machines de production et le vieux tunnel de Par-dessous-la-montagne.
Ce camps était surnommé « Le point de non-retour » par les locaux. Car ceux qui y entraient n'en ressortaient jamais, ou alors en très mauvais état.
Les conditions de vie étaient très dures : nous travaillons jours et nuits, presque vingt quatre heures sur vingt quatre et n'étions nourris que par de maigres rations. Seuls les plus forts survivaient à ce traitement.
Par chance, nous étions deux dans cette misère: mon frère et moi. Nous avons survécu ensemble jusqu'à ce que notre moyen de survie soit découvert, ce jour là, nous avons dû fuir la mine.
Mon frère s'appelait Yohann. Mais les gardes le surnommaient Darkfury à cause de son tempérament impétueux et de ses cheveux noir de jais. Nous ne vivions pas heureux, mais nous nous satisfaisions l'un de l'autre. On ne pouvait nous différencier qu'en utilisant la magie, et encore. Jusqu'à l'aube de mon adolescence.
Je n'ai jamais su ce qui était arrivé à nos parents, néanmoins je le savais être mon frère, par la ressemblance et le sang.
J'ai commencé à travailler à l'âge de cinq ans. Mon frère, trop jeune, commença à travailler à mes sept ans. Cette année là j'étais en très mauvaise santé, j'avais besoin de soins que l'on m'accordait mais pas suffisamment pour vivre.
Juste pour agoniser.
C'est alors qu'il eut une idée : celle de me déclarer morte.
Pourquoi me déclarer morte ? Pour pouvoir me sauver et peut être même de s'échapper afin de vivre une vie meilleure. Il travaillât à ma place pendant trois longs mois, ne mangeant presque rien pour me laisser sa part. Cela me permit de guérir. Alors nous avons commençâmes à nous relayer au travail. Pendant que l'un se cachait afin de se reposer, l'autre prenait la relève et ainsi de suite. Nous nous relayâmes de jours en jours pendant cinq ans.
Jusqu'à l'aube de mes douze ans...
Chapitre 2 : Ce qui a changé ma vie.C'était un jour comme les autres, c'était également mon tour d'aller au travail.
Comme j'avais bientôt douze ans et que la différence entre mon frère et moi commençait à se faire sentir, je devais mettre un bandeau de poitrine ainsi que de fausses épaules pour me faire passer pour lui.
Ainsi je devais imiter chacun de ses gestes et mouvements, tout en faisant attention à ne pas me faire repérer par les gardes lorsque je revenais à notre cache.
J'étais en train de puiser l'eau du puit quand un homme, du haut de son cheval, me balança sa botte dans l'arrière de la tête. Sur le coups j'étais sonnée. Quand je repris mes esprit je le vis se diriger vers moi, sabre à la main, les autres esclaves avaient tous fuis, ou du moins n'étaient plus visibles.
Il s'adressa à moi de sa voix rauque :
« Toi, tu n'es pas celui que tu prétends être... Je le sent... Qui es tu au juste ? »
C'est alors qu'un événement inespéré me sortit de cette situation :
« HOLA ! Mais qui voilà ? Ce bon vieux Déïxus ! Et toi que que fais tu là ? DISPARAIS AVANT QUE JE NE M'ÉNERVE ! »
Sur cet ordre, je déguerpis sans demander mon reste.
Je sus que j'étais suivie quand par mégarde, le poursuivant fit tomber un objet. Je ne marchais plus ni courais, je volais pour ainsi dire ! Mes pieds ne touchaient pratiquement plus le sol tellement ma vitesse, et ma crainte , s'emballaient.
Je courais vers Le Repaire quand quelqu'un me fit signe d'approcher.
C'était Morgan, le Doyen des esclaves.
Il me dit alors ceci :
« Yûna... Tu as été trahie... Tu dois fuir maintenant tant qu'il en est encore temps... Pars maintenant, ou alors ils vont te tuer ! »
Sur cet avertissement sibyllin, je partis rejoindre Yohann, qui semblait avoir été prévenu avant moi. Toutes nos affaires étaient prêtes, prêtes à s'évader.
C'est ainsi que notre fugue commença.
La première et plus dangereuse étape de notre périple consistait à sortir de la zone de travail, gardée par quinze vigiles, dont cinq fortement armés. Nous descendîmes à l'intérieur, comme pour aller travailler, et fîmes mime de nous diriger vers L’atelier. Au coin de la grosse machine à broyer, il y avait un tunnel. Ce tunnel avait été creusé par d'anciens esclaves et ne servait plus depuis des lustres. Pourquoi était-ce dangereux ? Parce que ce tunnel passait justement SOUS le poste de garde et qu'il n'y avait guère qu'un mince plancher de bois entre eux et nous.
Si l'un de nous ne faisait ne serait-ce qu'un seul et unique bruit, les gardes, qui étaient des Ectélyon, sorte de lion à huit pattes et aux griffes empoisonnées, en seraient avertis et nous finirions déchiquetés ou, probablement, dévorés vivants.
Heureusement, les Ectélyons étaient trop occupés à mater une révolte. Cette révolte servie de diversion. Nous n'oublierons jamais le courage qu’eut Morgan en la menant, ainsi que tous les esclaves qui le suivait. Paix à leurs âmes. Nous étions dans le tunnel quand soudain une incroyable puanteur se fît sentir.
« POUAH ! M'écriais-je. On dirait qu'un monstre géant s'est lâché !
Et bien si c'était cela, nous qui avons des torches, serions probablement morts d'une explosion. Héhéhé !
Tu as vraiment un humour dépressif, Yohann...
RÉPÈTE ÇA POUR VOIR ??? »
C'est là une de nos nombreuses petites chamailleries dont je me souviens. Et c'est ce qui m'est le plus cher dans mon cœur.
Nous arrivâmes à la sortie du prétendu « Monstre géant » au bout de cinq heures.
Nous étions libres.
Ton histoire tient sur huit pages.
Félicitation, cher Corentin.
Tu as gagné le titre du plus gros floodeur du forum !
Sérieusement, on voit que tu étais inspiré mais ce n'est pas la quantité qui défini la qualité !
.gif" alt="
!" longdesc="61" />
Et corrige ton texte ! Il y a des fautes qui me brûlent les yeux !