Fiche de présentation de Kan-Deï Aaron

Fiche de présentation de mon personnage:

Nom :Kan-Deï

Prénom :Aaron

[Facultatif] Surnom :Aucun

Âge :14 ans

Race (Humain, Draconien, Célestilien, Mort-vivant, Monstre) :Célèstilien

Classe (Dresseur, Dracoguerrier, Sage, Nécromancien, Guerrier, Mage ou Prêtre ou ???) :Guerrier

Faction (Aventurier, Garde, Criminel, Monstre) :Aventurier

Titre/Prime/Grade/Niveau :Aucun Titre/Prime/Grade

Techniques d’armes :Okami Slash, Den'pa/ Coup de Fenrir/ Katsuryoku-Taihou

[200 mots minimum] Description physique :Aaron est un jeune garçon de 14 ans, il a les cheveux blanc comme neige et des yeux gris comme des nuages de tempête. Il a une carrure de sportif déterminé qu'il s'est forgé en s'entrainant dans des conditions désolantes. Fiche de présentation de Kan-Deï Aaron 962310451

Fiche de présentation de Kan-Deï Aaron 962310451

Il porte toujour sa tenu de célèstilien même si elle est en mauvaise état.Ses bottes en cuir de sangini vache XY et son T-shirt a la mode dans le protectora déchiqueté et maculé de boue. Son katana nommée Okamimaru, cette lame forgée à partir de ténérium, d'or et d'argent lui est très préscieuse.

[200 mots minimum] Description mental : (Caractères, goûts, objectifs) :Aaron est un garçon qui s'emporte facilement depuis la tragique mort de sa famille devant ses yeux...Mais il a un but qui lui fait tenir bon, la vengeance est un plat qui se mange froid; mais il en avait décidé autrement, le jeune Kan-Deï voulu déguster chaud...Mais rien ne fut, les deux diables (voir présentation d'Ostéria) l'ont emrisonné dans un cristal temporel. Il réussi a s'en échapper plus tard, mais le cristal avait été jetté a la mer et avait dérivé lentement pendans 160 ans. Le jeune garçon se retrouva ainsi sur une île qui lui est inconnu nommée Gold Island ...(clin d'oeil à Light)

[600 mots minimum] Histoire

[u]I- Une enfance au paradis

Kan-Deï Aaron est né sur l'île de Wings Island, dans les mers célèstes du centre, à passé ses 10 premières années sur une île célèste située au nord nommée Iceblast. Son père, Kan-Deï Sky, était un grand guerrier, aussi il était surnommé "The Iceknight" ou "Grey Wolf", car il portait une armure grise qui fesait penser à un loup se tenant sur ces pattes arrière, avec des ailes. Sa mère, quand à elle, était une puissante sage, spécialisée dans les sorts de zone. Les cinq premières années, Aaron vivait paisiblement avec Sky et Annabeth, ses parents, mais pour ses 6 ans, Aaron eu un cadeau un peu spécial: Une petite soeur! Pendant deux ans, il vaicu un veritable enfer, changer les couches, emmener la bambine au park, la garder quand les parents s'absentent. Mais un jour, Kira, prononça son premier mot: Aarooon. Depuis, il s'était mis en tête de toujours la protéger quoi qu'il arrive. Mais Kira avait le chic pour se mettre dans des situations dangereuses: Un jour, elle se frottait à un Tigriff des neige d'un peu trop près, le lendemain elle voulait sauter du haut de la cascade gelée, et le jour d'après le tigriff des neiges souhaitait prendre sa revanche. Aaron la sauvait à chaque fois, mais ce n'était pas chose facile...
Chez les Kan-Deï, les katanas sont les armes de prédilection des hommes, ainsi, Sky offrit son second katana à son fils.

[Sky]- Silverfang Okamimaru, prend-le Aaron, et je t'enseignerai l'art du combat à la lame.
[Aaron]- Ouai! Mon propre katana !
[Sky]- Cette lame est une Scellacion Blade, prend en soin.
[Aaron]- C'est quoi un ""scellazion bade""?
[Sky]- Une Scellacion Blade est une lame qui... Ôh tu le saura bien assez tôt.
[Aaron]- HUm... Ok! Alors tu m'apprends à manier Okamimaru?
[Sky]- Haha! Biensur, prépare-toi, je vais te montrer les rudiments du combat à la lame. En garde !

II- Rencontre avec le Roi des voleurs

Kira avait fété ses 4 ans, et Aaron ses 10 ans. Cette années, le championnat du monde des dresseurs de monstres et celui des bretteurs auront lieu en même temps, le mois prochain.Aaron s'était déjà inscrit au championnat des bretteurs avec Okamimaru, et Kira, qui avait hérité de la race de sa mère, se présenterai au championnat du monde des dresseurs avec son aggluantin, son smilodon de lait et son monte-gluant de métal. Les deux enfants s'entrainaient vraiment dur, et, le jour du championnat, qui se déroulait sur une île des mers du centre nommée Kliff, ils arrivèrent facilement en finales...

[Annabeth]- Bien joué Aaron, tu t'est très bien battu !
[Aaron]-Ouai et je vais gagner la finale !
[Sky]-Kira, toi aussi tu a soufflé tes adversaires.
[Kira]-Merci pap! Et moi aussi je vais gagner la finale !
[Sky]-Si Aaron devient champion junior, on aura 500 Gold, et si Kira réussi aussi, sa nous fera une coquette somme de 10000 Gold.
[Annabeth]-Les finales n'auront pas lieu en même temps. Celle du championnat des dresseurs se déroule deux heures avant celle du championnat des bretteurs. Nous pourons donc assister aux finales ensemble !
[Aaron]-Demain c'est le grand jour ! On va rafler tous les trophés !!
[Kira]- Ouai !!

Le lendemain matin, Aaron s'entrainait avec Kira et ses monstres, quand l'horloge qui tronait au centre de l'île sonna midi. Les enfants se reposaient après avoir mangé.

[Aaron]-Kira.
[Kira]-Quoi ?
- On va les éclater !
-On perdra pas !
[Ensemble]- Waaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!!
- Qu'est-ce qui vous prend de crier comme sa ?
-On se motive !
- Haha, c'est bien les enfants.

Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! Ding! L'horloge sonne 14 heure.

- C'est l'heure, la finale du championnat des dresseurs va commencer!

[...]

- Mesdames et messieurs, La finale du championnat du monde des dresseurs junior va débuter!
Tout d'abord, veuillez acceuillir nos deux finalistes:
A ma gauche, voici la toute jeune Kira, originaire d'IceBlast, elle n'a que 4ans !
[Publique]-Ooooh ?!
(Faisant un grand "coucou" de la main au publique)- Salut !
- Et à ma droite, saluez Léo, fils d'une famille richissime, il a déjà participé à ce championnat l'an dernier, il est âgé de 11 ans.
[Léo]- Hé fillette, retourne dans les jupons de ta mère
(Tirant la langue)- Neeeeuh...
-Un petit rappel des règles avant de présenter les monstres de nos finalistes:
Les concurents peuvent ordonner à leurs monstres, toutes les aptitudes et tous les sorts sont autorisés, contrairement au objets, qui eux sont non-autorisés. Enfin, le dresseur dont les monstres seront incapable de continuer à combattre sera disqualifié !
Et maintenant je vais présenter les monstres de nos finalistes:
Kira va combattre au cotés de Spicy l'aggluantin, de Skip le smilodon de lait et de Rayder, le monte-gluant de métal.
Léo quand à lui se battra avec Tiger le smilodon et de Lordy le Lord-Lionnel.
[Publique]- Un Lord-Lionnel ?!!!
- Impossible, c'est un monstre de rang A !
(criant à travers la foule)- Kira, fait bien attention !!
- D'accord !
- Alors, tu compte abandonner ?
-Pffff ! Biensûr que non !
- A vos marque... Prêts... FRAPPEZ !
- Tiger, démolis-moi ce monte-gluant de métal !
-Rayder, bloque-le avec lame sombre !
[Le monte-gluant de métal et le smilodon se jetèrent l'un sur l'autre, Tiger planquant Rayder au sol]
- Et maintenant Lordy, achève-le !
[Lordy sauta haut dans l'arène, et Tiger filla pour ne pas encaisser le coup]
-Spicy, Skip, technique n°2: Lance-Aggluantine !!
[L'aggluantin sauta sur le dos du smilodon de lait qui courrait à toutes vitesse vers Rayder. Tandis que Lordy tombait dangereusement vers Le monte-gluant de métal, Spicy et Skip s'élancèrent de toutes leurs forcent vers le Lord-Lionnel. Spicy donna à Lordy un puissant coup au ventre et le renvoyait vers Tiger]
-Mince, écarte-toi Tiger !
-Rayder, Skip, Lame bénie et lame de feu !
[Les deux monstres foncèreent vers Lordy qui n'avait pas encore atterit, sautèrent sur sa tête et, alors que les griffes du smilodon de lait s'enflammaient et l'épée du monte-gluant de métal s'illuminait, ils frappèrent le Lord-Lionnel en pleine face]
- Tiger ne reste pas sans rien faire, Coup d'Hèrmes sur l'aggluantin !
- Spicy, technique n°1, Tourbillon Infernal !
[ L'aggluantin se mit à tourner à toutes vitesse, et quand il pris feu, Tiger le frappa lourdement, mais se brûla la patte]
[color=cyan]- Et pour finir, Spicy et Rayder, technique n°4, Lame Monte-Quadrigluantine !!!
[ Rayder sauta sur Spicy, et ils fusionnèrent pour former un Monte-Quadrigluantin qui brillait de mille-feux. Il se propulsa vers Tiger à la patta brûlée et Lordy ,qui avait fait un petit cratère en tombant et qui était sur le dos. Le Monte-Quadrigluantin lamina les deux monstres de Léo qui hurla a&vant de s'enfuir vers la sortie la plus proche]
- Incroyable, notre gagnante est... Kira !!
- Yeah Kira, t'as réussi !!
- Quel beau combat.
(criant à la foule)-C'est ma fille !
-Et le championnat du monde des dresseurs de monstres junior est djà terminé. Je vous invite à revenir dans 3 heures dans cette arène pour les remises de prix des deux championnats qui ont lieux aujourd'hui.
[Quelques minutes plus tard,les Kan-Deï sont dans les vestiaires...]]
- T'as été super Kira !!
-(souriante) Merci !
-Oui, c'est une remarquable victoire !
-Vien faire un calîn à maman !
[Tandis que la petite fille est sa mère se calinaient, le commentateur annonça la finale]
- Mesdames et Messieurs, la finale du championnat des bretteurs junior va commencer ! Veuillez prendre places dans les gradins.
- Allez Aaron !
- Ouai !
- En avant Aaron, notre entrainement ne sera pas vaint !
- Fait bien attention quand même.
- Je vais l'éclater... Je vais l'éclater. Je vais l'éclater !! Yeah !!!
[Aaron fonça vers l'arène]
- Veuillez acceuillir nos deux finalistes:
A ma gauche, le terrible Plicplocket ! Armé de sa hache en Roche marine.
[Un homme dans le publique]- Les armes autres que les épées ne sont pas interdites ?!
- Hé bien... Si nous discalifions Plicplocket, alors nous nous ferons trancher la gorge par le monstre qui tien l'arbitre en otage...
[ Celui-ci était un monstre musclé, à la peau sombre qui portait une cagoule de bourreau, des bottes, des gants et un short noir. Il tenait l'arbitre en otage grâce à une imposante hache noire de jais, avec pour seule poignée des lamelles entrelacées de cuir violet. Une petite couronne dorée était posée sur sa tête]
- Plic... Ploc... Renonce si tu tiens à la vie. Plic... Ploc...
- Haha ! T'est un marrant toi !
[Plicplocket ressemblait beaucoup au personnage en noir, mais il était plus petit et était habillé de bleu]
- Bien... Hum... Et à ma droite, Kan-Deï Aaron avec son katana nommé Okamimaru. Un petit rappel des règles: Interdiction d'utiliser la magie, que ce soit un sort offensif, un sort de soutien, de soin ou d'affaiblissement, seules les aptitudes et les techniques d'armes sont autorisées.
- Bon alors, sa commence ?!
- Oui oui... Donc... Que le combat COMMENCE !!!
- Yeah ! En avant Okamimaru !
[Aaron fonça à toute allure vers Plicplocket, il avait le sourire au lèvre. Arrivé à un mètre devant Plicplocket, Aaron fit tournoyer verticalement Okamimaru dans sa main droite, aspirant ainsi de l'air qui formait ensuite une sphère de vent autour de la tsuba d'Okamimaru]
- Okamislash, morsure de la brise hivernale !
- Mais qu'est-ce qu...
[Le monstre n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'Aaron lui avait tranché le flan droit. Plicplocket s'effondra, inconscient, sur le sol del'arène]
[Publique]- Woooooooh ?!
- Quoi, c'est tout ? Eh bah ce tournoi il est super simple.
- Ouai grand-frère ! Tu l'as eu !
- Heu... Plicplocket étant dans l'imposibilité de continuer le combat, le vainqueur est Aaron !
-(rejetant l'arbitre par terre) Stop, je suis le Prince des voleurs! Et vous allez me donnez cette récompense!
[Le monstre tout de noir vétu leva sa hache en criant celà]
- Le Prince des Voleurs n'est-ce pas ? J'ai déjà entendu parler de toi, tu est un démon de rang X, c'est bien sa ?
- Exact, et toi, t'est qui ?
- Je me nomme Kan-Deï Sky, mais on me surnomme The IceKnight ou Grey Wolf.
- The IceKnight ? Connais pas. (se retournant vers le commentateur) Alors elle vient cette récompense ?!
- Oh oui bien-sûr ! Vite, apportez la récompense !(ordonna-t-il au subordonnés près des vestiaires)
[Sky sauta des gradins et atterissa juste devant le Prince des Voleurs]
-Ecoute, Prince des Voleurs, soit tu disparaît, soit je te fait disparaître !
-* Il veut me prendre ma récompense ?!*
- Mouhohoho !! Essaie célèstien, sa me ferai bien rire !
[Le monstre leva sa hache bien haut, et tenta de frapper avec force le guerrier émérite qu'est Sky, mais MoonBlade Kisaku se retrouva contre la gorge du Prince des Voleurs, qui emmit un petit cris étouffé d'étonnement]
- J'en déduis que tu as choisis la seconde option.
- Eh ! Le type à la hache !
- Aaron ?!
- Qu'est-ce que tu veux gamin ?
- Toi, tu veux ma récompense c'est sa ? Mais tu l'auras pas !
- Qu'est-ce que tu fais Aaron ?
- Yahaaaa !!!
[Aaron fonça vers le monstre et tenta de le transpercer, mais Okamimaru ricocha sur le torse du Prince des Voleurs]
- Mouhohoho ! Je suis bien trop fort pour toi gamin !
- C'est pas vrai ! (retombant sur ses pieds) Comment sa ce fait que t'as rien ?!
- Alors, j'attend ma récompense !
- Ah oui, où en étions nous... Donc, je te fais la peau ou tu dégage, tu comprend mieux ansi ?
- Ton esquive de tout à l'heure n'était qu'un coup de chance, tu vas voir, je vais te réduire en cendres !
- Tu dis que c'était un coup de chance...

[Ce jour-là, les Kan-Deï repartirent avec 10 000 Gold et on ne risquait plus de revoir le Prince des Voleurs dans les parages]

III- L'île du désastre

Kan-Deï Aaron avait 13 ans. Ses parents, sa soeur et lui étaient partis en vacances sur une île du sud nommée Ostéria, un vrai coin de paradis où la température se rapproche des 30°C. Sky et Aaron ne supportaient pas la chaleur, mais les filles se sentaient parfaitement a l'aise. Pendant que les hommes goutaient aux spécialitées de l'île, Annabeth et Kira fesaient bronzette. De superbes vacances, jusq'au jour où deux ignobles créature remontèrent des profondeurs de l'enfer et arrivèrent sur l'île, accompagnéent de centaines de monstres. La pplupart de personnes qui se trouvaient sur Ostéria à ce moment là fuyaient ou se faisaient tuer. Les Kan-Deï était toujours sur l'île, ils luttaient contre les puissants monstres. un matin, ils se firent surpris par une meute meute de démon, ils réussirent à fuir mais, bléssés gravement, les Kan-Deï ne résisteraient plus longtemps. Deux semaine s'écoulairent et puis le drame arriva. Aaron vit sa famille, pendant leurs sommeil, se faire tuer devant ses yeux car il n'arrivait pas à dormir. Déchiquetés par les monstres, Sky, Annabeth et Kira disparaissairent en une intense lumière blanche. Le jeune garçon jura vengeance.
Il s'entraina durement pendant une année, avant d'atteindre Fort Démonn, et de tenter de vaincre les deux diables.

...

Et vous ?

Prénom :Aaron

Âge :13 (dans 2 mois 14)

Lieu de vie :Sud de france , Langue D'oc Roussillon

Comment avez-vous trouvé ce forum ?C'est moi qui l'est créer ;D

Bienvenu sur DQMJ solu Rp.
Il te faut faire l'histoire de ton personnage et choisir une faction^^
Sinon j'ai été absent un moment car j'étais malade--' Mais là je vais pouvoir à nouveau administrer^^

Ok j'espere que tu va mieux ^^
Pour l'histoire j'ai vu celle de ton Nyall, c énorme !!! C obliger de faire 600 mots ?
Sinon je vais l'écrire sur mon bouquin d' RP et j'éditerai.

Ps: Le systeme de point (Rps) m'indique 54 je peu quand même commencer au level 1 ?
Pss: Aussi pour la faction, Kan-Deï Aaron ne s'entraine que pour vaincre Orgo et Demir il n'est ni un aventurier, ni un garde ni un criminel.

Ouaip, le nombre de mots minimum est pas là pour faire joli^^ et encore là je fais mon deuxième compte pour le forum Rp où je vais, 6000 mots d'histoire, j'étais inspiré^^
Pour le système de points, ça doit être un bug tu peux te les enlever avec le panneau d'admin en te donnant -53 points. Et pour la faction, tu n'as qu'à mettre Civil, même si pour moi, un mec qui s'entraîne afin de battre des monstres, c'est un aventurier.

Ok bah je me met Aventurier du coup.
-* 6000 ?! C'est qui ce type !! Mon premier RP pour ce forum fait 1300 et des poussières...*
Merci pour toutes ces précisions !

(ce que je fais pas n'est pas autorisé mais j'abuse de mon pouvoir...Nah! Voici les 6000 mots d'histoire [fermez les yeux si vous êtes pas content de voir du One Piece^^ Smile

Si vous avez lu tout ce dossier, vous devez en savoir plus sur moi. Vous connaissez mes motivations et mon objectif de ne jamais devenir un « chienchien » du gouvernement. Il y a une différence entre obéir aux ordres et exécuter les ordres, et cela, il faut en être conscient. Je vais maintenant vous raconter l’histoire d’un jeune homme seul, qui a grandi sans sa mère, avec un père tyrannique. Mais n’oubliez pas que cet enfant, ce fut moi mais ça ne l’est plus.

Première partie : Une existence pénible

Jusqu’à l’année de ses dix ans, Alistair eut une vie emplie de solitude. Les autres enfants ne l’aimaient pas, à cause de la couleur de ses yeux. La raison en était plus ancienne. Il vivait sur une toute petite île, l’île Kajiki et, là-bas, tout le monde se connaissait. À sa naissance, diverses moqueries fusèrent sur l’origine de cet enfant si singulier : on prétendait qu’il était le fruit d’une union défendue, entre sa mère et un des nombreux collègues de son père, et que les dieux, pour punir ce péché, lui avaient imposé cette marque. Il est vrai qu’à cette époque, sa mère était l’une des plus belles femmes de l’île et beaucoup de commères la jalousaient. Et puis, d’autres faits dérangeaient : Alistair commença à marcher dès cinq mois, il parlait à treize mois et était en avance sur ses camarades. Mais, comme personne ne peut être parfait, le jeune enfant avait avec ses singulières capacités, un cadeau empoisonné : il avait une trop importante mémoire visuelle et était « agressé » par la montagne d’informations sous forme d’images qu’il recevait. Ne contrôlant rien, l’exclu se rendit compte qu’il n’était pas comme les autres garçons quand il vit que les autres se comportaient normalement. Il fuyait les gens, ce qui accentuait le dérangement que provoquait son comportement. Son père, furieux de ne pas avoir un enfant « normal », le bombarda de coups, évacuant sa panique à l’idée d’avoir un fils mentalement déficient en lui mettant tout sur le dos, accroissant ainsi l’embarras d’Alistair qui pensa alors que c’était de sa faute. Il n’eut ainsi, durant les dix premières années de son existence, aucun repos. Quand il n’était pas à l’école du village où les enfants le rejetaient ou pire, le martyrisaient, son père se chargeait de faire de sa vie un enfer. Le jeune garçon faisait témoignage pourtant d’une intelligence peu commune mais le père, au lieu de le féliciter, déclara que « L’intelligence c’est pour les tapettes ! Cela ne te servira à rien si tu veux marcher sur les traces de ton honorable père et rentrer dans la Marine » et le jeune garçon, soucieux d’obtenir l’approbation de son père, s’en alla, dépité, accomplir ses tâches ménagères. Durant ces années, abasourdie par la brutalité dont faisait preuve son mari avec son unique fils, sa mère se laissa dépérir, battue par son mari quand elle tentait de défendre son fils ou de lui donner de l’amour maternel. Alistair commença tôt à comprendre que, pour le bien de sa mère, il devait encaisser les coups à sa place et, n’osant pas s’opposer ouvertement à son père, il réorientait néanmoins sa colère vers lui afin que le père évacue sa colère sur lui, comme il l’avait toujours fait. Il savait que cette manière de le traiter lui et sa mère n’était pas normal, il savait qu’il fallait que ça change.

Seconde partie : Une heureuse rencontre

Lors de sa dixième année d’existence, un événement bouleversa son existence : il fit la rencontre des parents de Light. En effet, tandis qu’ils amenaient leur enfant de cinq ans pour la première fois à l’école, ils avaient demandé au professeur, après avoir expliqué le problème de leur enfant, de lui trouver un tuteur, un élève qui puisse le protéger des autres enfants. Le professeur, qui aimait bien le jeune Hellminster, l’indiqua comme tuteur aux parents. Et c’est ainsi qu’Alistair fit la connaissance de son premier et seul ami : il était la seule personne qui ne le rejetait pas mais ironie du sort, la seule personne qui ne le saurait jamais. En effet, l’enfant était atteint d’une maladie et se créait son propre monde virtuel, dans lequel lui seul existait et où tout tournait autour de lui. Quelquefois, il avait des moments de lucidité et il parlait avec Alistair, se présentant et écoutant attentivement la présentation du futur marine. Mais il oubliait vite son existence et, à chaque fois, Alistair devait recommencer sa présentation, comme si les deux amis se rencontraient pour la première fois. La famille du jeune malade invita son tuteur à venir chez eux, et ce fut pour Alistair un vrai refuge que cette maison. Il y apprit à cacher son infirmité, ne montrant à personne les migraines que lui infligeait sa mémoire visuelle. La mère de Light, une femme douce, lui apprit que son fils concevait la réalité différemment, un peu comme s’il rêvait les yeux ouverts, se considérant comme le seul enfant du village, seul l’existence de ses parents étant certaine dans son monde virtuel. Le jeune garçon demanda s’il y avait un moyen de soigner cette maladie et la jeune femme lui expliqua que seul un choc émotionnel, un ébranlement de ses certitudes pouvait le faire, et ils n’osaient pas lui faire subir.

Alors Hellminster fit une promesse à son ami : il ferait tout pour provoquer ce choc et le sortir de cette maladie. Il entreprit dès lors, quand Light avait des moments de lucidité, de le pousser à bout mais cela ne marcha pas. Plus tard, lorsqu’un équipage pirate vint sur l’île, il fut intégré dans le monde virtuel de Light et ce dernier se comporta normalement avec eux. Ces derniers furent amusés par le jeune garçon et se comportèrent bien avec lui. Alistair en conçut de la jalousie et lors d’un moment de lucidité de son ami où celui-ci déclara vouloir devenir pirate, il s’exclama, par esprit de contradiction, qu’il entrerait dans la Marine. Cette exclamation éveilla une lueur d’intérêt dans le regard de son ami et il espéra que Light se souviendrait de lui cette fois-ci. Mais cela ne marcha pas et la lueur s’éteignit.

Cette même année, sa mère mourût, suite à une longue dépression. Alistair pleura toutes les larmes de son maigre corps, allongé sur son lit et maudissant son père, ainsi que sa propre faiblesse. Il deviendrait fort et ne laisserait plus son père lui faire de mal. Il fugua de chez lui et fut accueilli chez les parents de Light. Ce dernier était en voie de guérison et ses mouvements de lucidité étaient de plus en plus fréquents même s’il ne parvenait toujours pas à se souvenir de l’existence de son ami. Alistair s’entraina au maniement du sabre, un bout de bois figurant l’arme. Il ne progressa pas beaucoup mais s’amusa, et c’était là l’essentiel.

Troisième partie : Le drame

Mais un jour, durant sa quinzième année, le drame se produisit. Alistair était au marché, cherchant du fromage frais qui accompagnerait le plat que confectionnait la mère de Light quand des cris retentirent :

-AU FEU ! LA FORGE EST EN FEU !

Un groupe de villageois s’activaient, allant remplir des seaux d’eau. Désireux d’aider, le jeune homme se joignit à eux, et, au bout de quelques heures, ils parvinrent enfin à éteindre les flammes. Heureux de sa bonne action, il rentra d’un pas leste à sa maison…dont il ne restait que les cendres. Ne voulant pas y croire, le jeune homme se précipita vers les restes de la bâtisse… et fut retenu par une poigne ferme. Se retournant, il découvrit avec stupeur son père. Ce dernier le prit dans ses bras.

-Je te demande pardon, mon fils ! s’exclama-t-il, l’air navré. Je sais que tu aimais cette famille qui a su réussir là où j’avais échoué. Ce sont les pirates qui ont brulé cette maison, ainsi que la forge, ces maudits pirates.

Le jeune homme ne répondit pas, perdu dans de sombres réflexions.

-Tu sais, je t’ai vu t’entrainer au maniement de l’épée. Tu as un très bon potentiel ! Je sais que tu me détestes mais laisse-moi t’apprendre ce que je sais, ainsi tu pourras venger ton ami.

Le jeune homme acquiesça et il rentra, avec son père, chez ce qui avait été son domicile du temps de sa mère. La maison avait changé, la poussière ayant tout envahi, et Alistair entreprit de faire les tâches ménagères.

Le lendemain, il commença son entrainement avec son père. Ce dernier se trouva être un bon entraineur et il offrit un sabre à son fils, avant de débuter l’entrainement. Au fil des semaines, il apprit à son fils à bloquer, à feinter, à utiliser aussi bien son fourreau que sa lame. Le paternel se trouva être un fin bretteur et le jeune homme apprit, avec lui, à exploiter son infirmité afin de prévoir ses mouvements. Il s’entraina à mettre de côté les migraines, à dompter la douleur. Il passa ainsi cinq années de sa vie à s’entrainer, isolé, ne descendant jamais au village, ne voyant que son père qu’il apprit à apprécier. Il s’entrainait de diverses manières, se battant contre son père, effectuant des pompes quand ce dernier n’était pas là car il était en mission pour la Marine, frappant les rochers, soulevant des troncs d’arbres et les utilisant comme des sabres.

Quatrième partie : Une découverte bouleversante

Un jour, il parvint enfin à passer la garde de son père. Pour fêter ça, ce dernier descendit au village chercher de l’alcool et, profitant de son absence, le jeune homme chercha dans ses papiers quel grade avait son père afin de déterminer la puissance qu’il avait. Il trouva ce qu’il cherchait : le certificat de remise de garde. Il le lut rapidement, avidement : son père était Lieutenant. Il se demanda comment il avait pu obtenir une telle promotion et il lut la partie située en dessous.
Voici à peu près ce qu’elle disait : En récompense pour l’aide qu’il a apporté à l’élimination du réseau de fournisseur en armes des Révolutionnaire, situé sur l’île Kajiki, le Sergent Hellminster sera dorénavant le Lieutenant James Hellminster. Ce document prendra effet dès que la signature du titulaire y sera apposée.

Le jeune homme ne comprit pas tout de suite : quel réseau ? des fournisseurs en armes ? des Révolutionnaires ?
Il entreprit donc de chercher le rapport dont son père avait dû faire la copie et il le trouva. Dans ce rapport, il apprit que l’équipage du Lion Bleu et son capitaine avait vendu les parents de Light ainsi que le forgeron du village, aux Marines. Son père avait obtenu une promotion pour le massacre de la famille qui avait pris soin de lui. Plus important encore, il lui avait menti et l’avait trompé. Il avait passé cinq années de sa vie avec le meurtrier des gens qu’il aimait ! Le rapport indiquait aussi que Light et Ulric Smith avait disparu. Ce fut la seule consolation d’Alistair : avec cet évènement traumatisant, Light avait dû retrouver la raison car c’était bel et bien un choc émotionnel intense. Mais une autre pensée survint aussi : Light ne se souviendrait jamais de lui. Si son père ne lui avait pas menti, il aurait pu retrouver Light et s’enfuir avec lui. Il serait à présent aux côtés de son meilleur ami à l’aider à se venger.

Se calmant, Alistair attendit son père, son sabre à la main. Quand ce dernier revint, il eut à la surprise de voir son fils, en posture de combat, lui lançant un sabre qu’il rattrapa adroitement. Il pensa tout d’abords qu’il s’agissait d’un entrainement mais les paroles dures et vrai de son fils le firent un instant revenir dans son passé.

-En garde, Lieutenant Hellminster ! Voyons si tu sais aussi bien sauver ta propre vie que mentir à ton fils ! s’exclama froidement Alistair, l’air déterminé à le tuer.

Le combat commença, plus violent que tous les autres qu’ils avaient menés. Ce n’était pas un entrainement, ils savaient tous deux qu’il n’y aurait qu’un seul vainqueur. Alistair resta tout d’a bords sur la défensive, esquivant, bondissant, parant, attendant une ouverture tandis que son père, lui, attaquait, l’instinct de survie ayant pris les commandes. Il feintait, virevoltait, fendait l’air à une vitesse ahurissante mais le jeune homme prévoyait chacun de ses mouvements et les parait ou les esquivait, inéluctablement. Le jeune sabreur rentra petit à petit dans le jeu, accélérant de plus en plus ses mouvements. Il cessa d’attendre une ouverture et commença à attaquer, tandis que son adversaire passait sur la défensive. Il donnait des rapides coups à droite, à gauche, poussant son adversaire à reculer, petit à petit mais sûrement. Son sabre formait dans les airs une arabesque menaçante mais quoi qu’il fasse, le sabre de son père rencontrait toujours le sien. L’apprenti garda toutefois son calme, après tout il savait que cet officier de la Marine serait un prodigieux adversaire. Mais son paternel augmenta la cadence du combat, ne se contentant plus de bloquer et, si Alistair parvenait à suivre chaque mouvement de son adversaire, oubliant la douleur occasionnée par ses migraines, il ne parvenait pas à le suivre. Il puisa dans sa colère, dans sa haine, dans le rejet de l’existence de ce monstre de père et son désespoir lui fit atteindre des sommets inégalés dans son art de l’escrime. Il toucha son adversaire plusieurs fois, mais ce n’était que des coupures superficielles, la lame arrêtant chaque fois sa lame in extremis, ne faisant qu’enrager davantage le lieutenant. Ce dernier réalisa alors une erreur : il jeta toutes ses forces dans une attaque verticale. Alistair s’en rendit compte et, au lieu de tenter de la parer, il mit tout son talent, toute sa rapidité dans une attaque d’estoc. Cette dernière fut plus rapide que l’attaque verticale de son père et il pourfendît ce dernier bien avant qu’il ne lui fende le crâne. Mais au lieu de continuer son mouvement, le Marine laissa tomber sa lame et concentra toute son énergie à transmettre une ultime parole à son héritier, tout en crachant du sang :

-Fils… Tu m’as tué… Et tu as sans doute raison… continua-t-il, après une hésitation. Je suis, sans doute, un monstre… Saches que je vous ai aimé… à ta mère et à toi… à ma façon…. Je ne sais pas si… j’aurais eu les couilles de te tuer… Veux-tu écouter un dernier mensonge de ton vieux père… ?

Se penchant délicatement sur le corps moribond de son père, dont il avait toujours souhaité l’approbation, et luttant contre les larmes, il acquiesça.

-Je… n’ai jamais… voulu… devenir… un… chien du gouvernement… Mais… j’ai toujours menti… à toi… à ta mère… à moi-même… en prétendant… ne pas l’être… Je… t’ai, un… jour, dit… que l’intelligence… ne… servait… à rien… déclara James Hellminster, s’efforçant d’articuler malgré le sang qui montait dans sa gorge.

»N’oublie… jamais… que… sans elle…, tu n’es… qu’un… pion.

Et c’est avec cette dernière phrase que l’existence du Lieutenant James Hellminster, veuf d’Angelina Hellminster, père d’Alistair Hellminster, et meurtrier des parents du jeune Light, s’acheva. Son fils garda son sang-froid, décidant de ne point verser de larmes sur le corps de ce chien. Il fit un serment à son imbécile de père, à qui il avait pardonné, celui d’apprendre aux autres « pions » du gouvernement à penser par eux-mêmes, et si toute tentative se soldait par un échec, celui de les tuer.

Ce jour-ci, il fit un autre serment, à l’adresse d’un ami lointain, celui que le jour où il se sentirait prêt, il s’enrôlerait dans la Marine où il enquêterait sur la mort de leurs parents adoptifs. Une fois qu’il connaitrait tous les noms, il entreprendrait un nettoyage de la Marine de l’intérieur.

*Après tout, qui va garder les gardes ?*

C’est avec cette pensée en tête qu’Alistair entreprit de faire ses bagages.

Cinquième partie : L’avènement d’un nouveau mercenaire

Cela faisait maintenant une semaine qu’il voguait en direction de Moon Island. En effet, le navire marchand où il avait loué ses services avait beaucoup d’étoffes à vendre à Oblivia. Alistair, fidèle à son éducation, s’occupait des tâches ménagères, se concentrant sur le travail afin de ne pas penser au monde qui l’entourait. En effet, l’équipage était plutôt important et était constitué de fiers et vigoureux marins qui vendaient leur navire ainsi que leurs services au plus offrant. Le bateau, un vigoureux brigantin, possédait cinq voiles, et pouvait supporter sans efforts le poids d’une trentaine d’hommes. C’était d’ailleurs, à peu de choses près, le nombre de personnes qui vivait sur le bateau. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, Alistair n’avait pas été engagé par les marchands afin de les protéger mais par le capitaine du navire afin de protéger son bateau. C’est ainsi qu’Alistair vivait depuis maintenant une année. Commençant par protéger des petits bateaux de pêche, il s’était vite fait un nom après avoir repoussé des pirates de moindre acabit. Pour l’instant, la prime du pirate le plus puissant qu’Alistair avait envoyé nourrir les poissons était de trois millions de berry, mais il n’en avait pas croisé beaucoup. Les équipages utilisaient donc Alistair comme un paysan le ferait d’un épouvantail, afin d’éviter que les pirates ne s’attaquent à eux. Mais le jeune mercenaire n’était pas non plus un employé discourtois. Il était solitaire, voire bourru, mais exécuter les tâches ménagères sans que ses employeurs ne le lui demandent. Conscient qu’il le faisait de son plein gré, il n’eut jamais de prime pour son petit « travail ». Certains des hommes sur les navires se moquèrent de ses traits fin, le traitant de « femmelette ». Ils furent étrangement les premiers à mourir lors des attaques de pirates.

Alistair restait toutefois aussi concentré qu’au premier jour, il avait choisi ce brigantin pour une raison : son trajet passait par les mers où opérait le Lion Bleu. En effet, le capitaine pirate n’avait pas supporté d’être à la botte des marines et il ne lui avait pas fallu longtemps pour récupérer son ancienne prime. Cette dernière n’était pas superflue : sept millions de berries ! Mais on racontait que cet homme ne se battait jamais, laissant à ses subordonnés le sale boulot. Alistair se rappelait du pirate qui prenait Light sur ses genoux, quand il était lui-même gamin. Qui aurait pu deviner, alors, que le souriant capitaine n’était qu’un espion au service du gouvernement, en échange d’une annulation de peine ! Oh, comme Alistair désirait que son navire, le Gold Jack, l’attaque. Il tiendrait alors sa vengeance. Bien entendu, vingt-trois marins et leur capitaine, ainsi que cinq marchands ne feraient pas le poids face aux cinquante pirates armés jusqu’aux dents du traître. Mais Alistair ne comptait pas pour du beurre. Et s’il parvenait à provoquer le pirate en duel singulier…

-UN NAVIRE PIRATE À BABORD ! s’écria la vigie, interrompant le fil des pensées du mercenaire.

Le capitaine du bateau, un certain Lionel Gates, sortit de sa cabine, le sabre au poing.

-Hissez les voiles, il nous faut gagner de la vitesse pour leur échapper ! ordonna le capitaine, anxieux.

L’effervescence régnait sur le navire, tout le monde se bousculait, exécutant les ordres du capitaine. D’autres ordres suivirent, le capitaine n’en étant pas à sa première rencontre avec des pirates. Les marchands se réfugièrent donc dans la cabine du capitaine tandis que les marins armèrent les canons, se préparant à l’affrontement. Le jeune Hellminster resserra sa poigne sur son sabre qu’il avait dégainé. Il avait été témoin d’assez de combat naval pour savoir que le navire pirate les rattraperait, surtout avec ce vent de face.

-Quelle est la forme de leur figure de proue ? s’exclama-t-il à l’adresse de la vigie, hurlant pour se faire entendre.

La vigie mit un certain temps avant de répondre qu’il s’agissait d’un être cornu d’une couleur proche de l’or. Le mercenaire en était certain maintenant : le Gold Jack était à leur trousse.

Finalement, au bout de ce qui sembla être les plus longues minutes de toute l’existence du Capitaine Gates, les premiers coups de canon partirent. Le capitaine réussit néanmoins à manœuvrer de manière à ce qu’ils retombent dans l’eau, soulevant une gerbe de substance aqueuse. Il en fut de même du côté du Gold Jack.

*Match nul, pour l’instant*

Cependant, un boulet de canon vola jusqu’au mât du navire pirate. L’équipage du brigantin retînt son souffle, s’attendant à voir le mât se disloquer… il n’en fut pas le cas. En effet, le Lion Bleu, reconnaissable à sa tignasse de cheveux bleu inimitable, afficha un sourire carnassier et leva une lame écarlate dans la direction du boulet de canon. Et là, à la plus grande stupeur de tout l’équipage, le boulet de canon continua sa course… en sens inverse. Un craquement de bois ramena les spectateurs à la réalité : le boulet avait perforé la coque, juste au-dessus du canon qui l’avait envoyé.
Un profond abattement prit tout l’équipage. Alistair, reprenant ses esprits, vit le capitaine se préparer à hisser un drapeau blanc.

-Mais… que faites-vous ? l’interrogea-t-il, interloqué.

-Il faut se rendre à l’évidence, mon cher, ces pirates ne sont pas humains. Leur capitaine m’a tout l’air d’être l’un de ses détenteurs de fruit du démon, s’exprima le capitaine Gates, défaitiste.

-S’il ne s’agit que de ça, nous n’avons qu’à faire couler son navire et…

-Et quoi ! l’interrompit férocement le capitaine, désespéré. Il nous renverra nos propres boulets de canon et ce sera nous qui nourrirons les poissons ! Non, nous nous rendrons. Je vous relève de vos responsabilités de protecteur du navire ainsi cela n’entachera pas votre réputation. Je vais lancer une chaloupe à la mer, et vous, ainsi que les marchands y monteront. Quant à nous, s’il nous faut périr, autant tenter notre chance en nous faisant recruter parmi ces pirates.

-Vous avez l’intention de les rejoindre ! C’est une bonne idée ! s’exclama le mercenaire, étonnant le capitaine qui s’attendait à ce que jeune homme soit écœuré. Mais voilà ce que nous allons faire…

Alistair expliqua son plan au capitaine. C’était un plan désespéré, certes, mais il y avait beaucoup à y gagner. Les marchands refusèrent de monter à bord de la chaloupe, préférant suivre le plan désespéré du mercenaire. C’est ainsi que l’équipage de l’Aigue marine se rendirent. Les pirates, peu étonnés, prirent possession de toute la marchandise présente dans la calle et mirent les prisonniers dans leur propre bateau, emprisonnés dans des cellules présentes dans leur calle. Le navire, sur lequel était Hellminster, devait faire trois fois la grandeur de leur précèdent brigantin. La marchandise, de la soie très fine, y rentra donc très facilement, rejoignant des épices originaires de South Blue, ainsi que des armes et beaucoup de barils de rhum.

Là, les compagnons se reposèrent du mieux qu’ils purent jusqu’à ce que l’astre lunaire éclaire les mers. Alistair, lui, attendit que la fin du tour de garde des deux pirates qui les surveillaient arrive pour les railler. Les deux hommes regardèrent le jeune homme seul dans sa cellule et le prièrent de répéter. Le mercenaire débita alors une série d’insultes universelles visant les mères de ces deux pirates qui ne semblèrent pas du tout apprécier. Jaugeant celui que les prisonniers avaient appelé « l’homme à tout faire », les deux hommes décidèrent de lui régler son compte, afin de faire un exemple. Ils n’eurent qu’à peine le temps d’ouvrir la cellule que deux coups assénés dans leurs trachées les envoyèrent dans l’autre monde. Le jeune homme, satisfait que son père l’ait aussi formé au combat à mains nues, se précipita et chercha son sabre, au milieu des autres armes. Il le trouva finalement et, utilisant les clés des deux pirates, les libérèrent. Les deux hommes, venus afin de remplacer leurs compagnons, se firent trancher la gorge nettement, sans avoir eu le temps de donner l’alerte. Alistair reposa délicatement le corps du second pirate, en profitant pour essuyer sa lame sur lui, et se faufila jusqu’aux quartiers du capitaine, telle une ombre au clair de lune. Les compagnons du mercenaire, eux, entreprirent de rejoindre les quartiers de l’équipage, qui à cette heure-ci, dormait paisiblement. Bien entendu, il y eut quelques insomniaques, mais rien qui ne pût résister à une vingtaine de marins en colère. Quand ils arrivèrent là où l’équipage, dans sa totalité, dormait, leur total de victime égalait leur propre nombre. Je ne détaillerais pas le combat déshonorable qui eut lieu, entre une vingtaine de pirates ensommeillés et une vingtaine de marins armés. Disons qu’il n’y eut aucune perte dans les rangs des marins, ce qui, en temps normal, aurait été miraculeux ! Mais revenons-en à Alistair Hellminster. Le jeune homme, qui fut moi, se faufilait jusqu’aux quartiers du capitaine. Il y avait, bien entendu, quelques gardes, mais cinq pirates n’étaient pas un bien grand défi pour le protecteur de navire.

L’écho du combat eut le mérite de réveiller le Lion Bleu. Ce fut donc un capitaine pirate en pleine possession de ses moyens et son épée écarlate à la main qui attendit Alistair. Ce dernier fut subjugué par la beauté de la lame, ne pouvant en détacher son regard. Une frappe rapide manqua de le tuer, le faisant sortir de sa contemplation. Le prochain coup fut contré par Alistair, mais, à son grand désespoir, la lame partit dans le sens inverse et il se prit le pommeau de son sabre dans les côtes. Il se plia en deux, hoquetant, et se jeta en arrière pour esquiver la lame couleur de sang. Le Lion Bleu n’était pas d’humeur à discuter, alors qu’Alistair aurait apprécié qu’il parle de sa lame ainsi que de ses faiblesses, et se focalisait sur le combat, son inébranlable sourire carnassier au visage. Il n’avait guère changé, toujours cette barbe si soigneusement taillé, toujours ce regard flamboyant, qui contrastait avec le bleu azur de ses yeux. Le capitaine pirate était un bon sabreur même s’il n’arrivait pas à la cheville de James Hellminster, en temps normal, il n’aurait fallu qu’une minute au mercenaire pour le tuer mais, là, avec cette lame démoniaque, toutes ses certitudes étaient ébranlées. Alistair avait compris qu’il ne fallait pas que sa lame touche le sabre écarlate car sinon, la lame repartirait dans le sens inverse. Le jeune homme lança alors, sur le pirate, un sextant qui trainait sur le bureau, mais le Lion Bleu le renvoya, d’un mouvement de lame dédaigneux.

-C’est avec cela que tu comptes me blesser ! s’exclama le capitaine, incrédule.

Le mercenaire ne répondit pas, continuant d’esquiver les attaques du pirate dont le but, apparemment, était de le coincer contre le mur où il ne pourrait plus fuir. Ce moment arriva plus vite que n’aurait pu le penser le jeune homme. Il prit alors appui sur le mur et se projeta, en arc de cercle, sur la lame du pirate. Comme il l’avait pensé, la lame le renvoya dans la direction inverse à laquelle il était arrivé, c’est-à-dire vers le haut. Il prit alors appuie sur le plafond, et, telle un aigle fondant sur sa proie, empala le pirate qui, ayant achevé son mouvement ascendant, se trouva être sans défense, n’ayant ni lame, ni faculté pour le protéger. La lame, entrée au niveau de la carotide, était ressortie au niveau du torse, perforant au passage son cœur. Hellminster lâcha son arme et, après une roulade, se récupéra sur ses deux jambes. Le Lion Bleu était mort sur le coup, un air de réelle surprise peint sur le visage.

Il n’avait probablement pas compris que, dès l’instant que le jeune mercenaire avait compris qu’il ne pourrait l’emporter dans un duel au sabre, il avait perdu. Car alors l’astucieux jeune homme avait entreprit d’évaluer l’étendue du pouvoir, en utilisant le sextant par exemple. Il avait vu que le fragile sextant ne s’était pas fait trancher et avait alors comprit que le pouvoir se déclenchait un certain laps de temps avant de toucher la lame. Et il avait alors vu autre chose, le sextant n’avait pas été repoussé par la lame, comme voulait le faire croire le capitaine, mais bien avant. Ce qui voulait dire qu’il y avait une portée d’effet. Il avait aussi calculé la trajectoire du sextant, l’ayant envoyé directement vers le torse du capitaine, le sextant était revenu rectilignement à l’endroit où il l’avait lancé, avant de continuer sa course contre l’une des parois. Le pouvoir du Lion Bleu consistait donc à inverser le vecteur du mouvement d’un objet dans une portée d’effet assez grande. Le mercenaire calculateur avait alors eu la téméraire idée d’utiliser la lame à son avantage, ayant calculé qu’il serait alors assez proche du toit pour prendre appuie sur ce dernier et s’élançait sur le sabreur. Il avait conscience que, s’il avait affronté le Lion Bleu dans un espace plus grand, il n’aurait pu que fuir.

Le jeune homme s’approcha de l’épée, attiré par la perspective de tant de puissance. Le pouvoir de manipuler les vecteurs de mouvements se transformait directement, dans son esprit calculateur, pour devenir : le pouvoir de contrôler les mouvements de mes ennemis à mon avantage. Il saisit alors le sabre par sa poignée qui était douce et chaude. Une émotion intense le submergea. C’était… exaltant. Il se rendit alors compte que l’épée brillait de mille feux.

*Alors voilà le nouveau possesseur d’Hantai no ugoki. Mon nouveau maître, ajouta une voix féminine en lui.*

Le jeune homme se retourna, pensant que quelqu’un l’espionnait. Il ne comprenait pas d’où venait la voix.

*Mais de l’épée, imbécile ! Et elle résonne dans ta tête ! s’exclama la voix, agacé.*

-Ah ! Et quelles relations entreteniez-vous avec le Lion Bleu ? demanda Alistair à haute voix.

*Des relations ? Avec ce sombre crétin ! Il n’a jamais pris la peine de m’écouter, ne pensant qu’à la puissance que je pouvais lui accorder.*

-D’accord. Mais qui êtes-vous ? Enfin, objectivement. Je veux dire, vous n’êtes pas la voix de l’épée si ?

*Objectivement, je suis la matérialisation physique de l’épée. Mais je fus, bien avant que ma conscience fusionne avec la lame, Kanzaki Suzaku, sa créatrice. Et exprime-toi par la pensée, ce sera plus pratique.*

*Très bien. Donc vous êtes Kanzaki Suzaku, celle qui a forgée la lame et lui a conférée sa personnalité, c’est cela ?*

*Je présume que cela puisse se résumer comme cela, en effet.*

*Et, à quoi me servirez-vous ? Je veux dire, je suis quelqu’un de très solitaire et je n’aime pas l’idée que quelqu’un puisse…*

*À quoi puis-je te servir ? Tu es bien présomptueux, jeune homme ! Connais-tu toutes les limites du pouvoir de ce sabre ? Sais-tu comment les repousser ? Sais-tu quel entrainement tu dois suivre ? Sais-tu comment ne pas utiliser le pouvoir de la lame quand elle est en contact avec un objet ? Non ! Tu ne le sais pas. Je ne doute pas qu’au bout d’une étude sérieuse, tu le découvriras mais, moi, je suis là pour t’aider, je te donnerais des informations et t’apprendrais comment mieux utiliser ton pouvoir.*

*Bien. Je suppose, effectivement, que je me sois mal comporté. Il est vrai qu’il est un honneur d’avoir une telle lame à ses côtés et que vos conseils devraient m’aider. Mais, pour l’instant, je n’ai pas le temps de m’entrainer, il me faut m’enquérir de la situation auprès de mes compagnons d’infortune.*

*En ce cas, tu me recontacteras quand tu auras besoin de moi.*

La lame s’éteignit et la sensation exaltant s’interrompit. Le nouveau détenteur de l’épée la ramassa et l’attacha tant bien que mal à sa ceinture. Il se rendit ensuite sur le pont. Le bateau voguait fièrement sur les mers, en direction d’Oblivia. Le pavillon des pirates avait été enlevé, et, si le navire n’arborait pas les couleurs des navires marchands, on ne risquait plus de les prendre pour des pirates.

[Hrp : Je rappelle que les évènements qui suivent se déroulent un an avant la situation actuelle. Le colonel Ook est donc toujours en vie.]

Une fois arrivé et payé, Alistair se sépara des marins qui entreprirent, dès lors, de se chercher un nouveau protecteur. Mais Alistair était l’un des seuls du genre à ne se spécialiser que dans la protection de navire, ils devront donc faire appel à des mercenaires freelance. Le jeune homme se dirigea donc directement en direction de l’Est, vers la base de la Marine, dirigée par le Colonel Ook. Il était temps pour lui de se ranger. Il n’alla pas voir le Colonel mais un officier moins important, à qui il déclara vouloir s’enrôler. L’homme commença à l’interroger mais quand il déclara être Alistair Hellminster, mercenaire protecteur de navire, l’officier ne lui demanda seulement de prouver son identité. Quand le jeune homme eut humilié du plat de sa lame, une dizaine de jeunes recrues, l’officier le crut et entreprit de faire un courrier de demande de recrutement.

-Il vous faut prêter serment, déclara le caporal Allen. Sur votre lame.

Alors, par une certaine ironie du sort, Alistair Hellminster prêta serment, sur la lame qui avait pourfendu le Lieutenant Hellminster. Puis, il s’avança et regarda froidement le jeune caporal dans les yeux :

- J’ose espérer que la Marine ne soit pas qu’un ramassis de chiens du gouvernement et qu’ils n’aient pas tous perdu le sens du mot Justice. Car si toi et tes supérieurs, mon gars, gâchez mes espoirs, je vous tuerais tous !

Le jeune officier ne répondit rien, se donnant une contenance en contemplant ses papiers.

-À présent, vous serez le matelot Alistair Hellminster, dit-il, d’un air assuré.

Sixième partie : Marine, pour le meilleur comme pour le pire

Je vais maintenant vous raconter moi-même ma propre histoire, depuis le jour où j’ai appelé Jiyuu la lame me liant à mes engagements et au meurtre de mon père.
Un an s’était écoulé depuis mon admission au sein de la Marine. J’avais protégé plusieurs navires, depuis, mais je n’avais eu des effarouchés qu’avec des pirates de moindre envergure. Je savais que cela avait été mis en œuvre par les officiers, afin de me tester. Durant l’année passée, je m’étais entrainé au maniement d’Hantai no ugoki. Disons que j’ai bien progressé depuis le jour où, tentant de renvoyer un boulet de canon, j’avais réussi à couler mon propre navire. On m’en avait beaucoup voulu et j’avais dû payer avec mes propres économies. Heureusement, avec l’argent récolté lors des protections de navire, quand j’étais encore mercenaire, j’avais pu payer les coûts de réparations. J’avais ensuite fait appel à Kanzaki, qui m’avait appris les calculs nécessaires afin de pouvoir prévoir les conséquences qu’aurait l’inversion du mouvement. Mais avec les diverses missions de moindre importance assignées par la Marine, je n’avais pas le temps de m’entraîner, du moins pas avec l’aide de la créatrice d’Hantai no ugoki.

Cela faisait maintenant deux semaines que je voguais sur les mers froides de North Blue. Notre destination était la base G27. Le navire de la Marine contenait le ravitaillement dont avait mensuellement besoin la base. Peu de pirates se risquaient à attaquer un navire de la Marine aussi bien armé, mais il y en avait quand même. C’est pour cela qu’un navire pirate leur barrait maintenant le passage. Le capitaine du navire, le sergent Hawk, envoya une claque sur ma tête, tandis que je cirai le pont.

-Allez, il est temps pour toi d’assurer notre sécurité ! Enfin, si t’en est un tant soit peu capable, lui dit le sergent, partant d’un rire tonitruant.

L’officier n’avait de cesse, depuis le début de la traversée, de m’humilier publiquement, croyant ainsi refermer son autorité sur moi. En réalité, je le haïssais pour ça, et ce navire pirate était une vraie bénédiction. Les boulets de canon fusèrent et je les renvoyai, avec ma lame, à leur expéditeur. Les pirates, comprenant qu’un combat naval de longue portée ne servirait à rien, décidèrent de passer à l’abordage. Pas moins d’une cinquantaine de pirates débarqua sur le pont du bateau mais une quarantaine de marines étaient là pour les accueillir. J’utilisai ma lame afin de dévier les attaques du gros des pirates, les renvoyant sur leurs alliés. Trois pirates tombèrent ainsi. Puis, je fis une chose que je n’avais jamais faite jusqu’à présent : je restai parmi l’équipage. Plus loin, le sergent combattait héroïquement une dizaine d’ennemis, attendant de l’aide. Mais du côté de l’équipage, personne ne l’appréciait et de toute manière, personne n’avait vu sa situation désespérée. J’avais du mal à rester parmi tant de monde qui s’agitait, cela me donnait de profondes migraines mais malgré tout je tenais bon, allant mieux à chaque fois qu’un adversaire cessait de bouger. Je me déplaçai calmement au milieu du champ de bataille, parant là une lame, aidant les marines en difficulté, si bien que, s’il y eut des blessés, il n’y eut aucun mort, du moins pas du côté de l’équipage. Sur le flanc droit du navire, par contre, une quinzaine de pirates avait eu raison du sergent qui était étendu, agonisant, sur le sol ferme du pont. Une dizaine de cadavres entourant le moribond attestait de son efficacité au combat. Je m’élançai jusqu’au flanc droit, pénétrant le groupe d’ennemis. Ces derniers furent bien étonnés et l’un d’eux sortit un fusil et entreprit de tirer sur moi. Je réussis à renvoyer toutes les balles avec Hantai no ugoki, parant et attaquant avec Jiyuu. Les pirates ne savaient pas que le nombre est un désavantage contre Alistair Hellminster. En effet, je mettais plus de temps à gagner un duel qu’à abattre une dizaine de ses vermines. Il n’y avait plus aucun allié autour de moi, je ne me retenais donc pas, certain que chaque attaque que je renvoyai blesserait ou tuerait un ennemi. Un cercle fermé m’entourait mais, au fur et à mesure que mes adversaires entraient dans ma danse mortelle, les morts s’accumulaient. Le cercle ne tarda pas à devenir un rectangle, et je ne mis que quelques secondes à éliminer les quatre hommes. En effet, je ne me servais pas de ma lame mais également des armes de mes adversaires, prévoyant leurs déplacements pour que, quand le mouvement s’inverse, ils soient mortellement touchés. Ainsi, je choisissais le bon moment, n’utilisant mon pouvoir qu’au moment où une ouverture se présentait, calculant les risques. C’est ainsi que je combattais. La ronde mortelle menait par mes deux lames cessa. Autour de moi, une trentaine de cadavres. Parmi eux, le cadavre du sergent, que l’équipage entreprit de traiter dans les formes : il fut lavé, parfumé, et sera ramené à sa famille qui choisira de l’enterrer ou de l’envoyer accomplir son ultime voyage sur les flots. Personnellement, à choisir entre nourrir les vers de terre et nourrir les poissons, autant être inhumé. Je n’avais aucun regret à l’égard du sergent, après tout, je ne l’avais pas personnellement tué. La suite du voyage se déroula sans accrocs et nous arrivâmes à G27, un jeune caporal du nom de Vince ayant pris le commandement du navire.

Et voilà, c’est maintenant que mon histoire commence. Vous qui avez mon dossier entre vos mains, sachez qu’Alistair Hellminster n’abandonnera jamais ses serments et fera tout pour devenir le « garde qui garde les gardes » ou en d’autres termes, celui qui nettoiera la Marine de tous ceux qui entache sa réputation !

ah..aaahhh......
: Fiche de présentation de Kan-Deï Aaron 3125100580

: Brain surcharged !!! : Fiche de présentation de Kan-Deï Aaron 3125100580

: Brain surcharged !!!

Nan mais srx c'est plutôt...IMPRESSIONNANT !!!!

Peut être bien^^ Mais j'attends ton histoire avec impatience Twisted Evil

J'ai déjà dépasser les 700 mots mais je suis en plein milieu donc...
Et puis j'écrit quand j'ai de l'inspi et moi quand j'ai l'inspi, c'est surtout le soir avant de me coucher et comme le matin j'ai du mal a me lever, ma mere m'oblige a me coucher tôt.

T'inquiétes pas, chacun écrit à son rythme et à sa façon^^ Tu as autant de temps que tu le souhaites.

Sa y est, j'ai mis mon Histoire en spoil. Désolé du temps passé, mais j'ai tout recopier sur un fichier .txt avant de le copier ici^^

Franchement, inutile de mettre l'histoire sous spoiler, ça abime plus les yeux qu'autre chose^^.
Et puis, ce sujet n'est consacré qu'à ta prez, alors ne t'auto-censure pas^^

EDIT: Validé. A condition que tu ne fasse pas le gros-bill en RP à tuer des niveau X d'un coup de sabre^^.
Trouve une anecdote afin d'expliquer la baisse de puissance de ton personnage suite à cette histoire. Pourquoi pas une malédiction des deux démons?
Tu es apte à RP^^ J'espére te voir lors de l'Event.

Quand tu dit que je GB, tu parle du Plicplocket ?
C'est pas un X rank, c'est un C rank, le Prince des Voleurs est un X rank.
Et merci de ta patience.

EDIT: Je suis en train de faire un Rp ou je suis expédié sur Fabulia.

EDIT2: J'ai fait 2200 mots :p Le tier de ton histoire sur One Piece. C'est déjà bien :p

» présentation de Brasero
» Kan-Deï Aaron : Armes et Techniques d'armes
» Fiche de création de Gryph, the Guncat
» Présentation de Nyall Hellminster
» Présentation personnage